A l’occasion de la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes, « Les Ateliers du Travail » débattent sur les violences et les souffrances faites aux femmes au travail. Objectif principal, sensibiliser !
Le 26 novembre 2019 l’association « Les Ateliers du Travail » ont organisé une soirée cinéma et débat sur les violences au travail, dans le 20e arrondissement de Paris, afin de discuter et de sensibiliser les invités aux violences sexistes et sexuelles au travail. Convivialité et bonne humeur était au rendez-vous.
A partir de 18h45, les va et viens des invités se faisaient entendre, les rires et les débats entre quelques groupes de personnes déjà présent se faisaient remarquer avant le début du film.
La responsable fit son discours d’introduction et d’explication, rappelant ainsi l’objet de cette rencontre, sensibiliser le public sur les violences faites aux femmes au travail. Elle mit aussi l’accent sur les actions mis en place par l’association pour accompagner les femmes se trouvant dans cette situation.
Avant que le film ne commence, la responsable remercia la Mairie de Paris qui a rendu possible la diffusion du film.
Le bruit du générique retenti. Dès le début, les yeux brûlants d’impatience des spectateurs se faisaient remarquer. Puis un silence envahit la salle où le film « The working woman » de Michal Aviad commença.
Film parfait pour la thématique de cette rencontre, étant donné qu’il traite du harcèlement sexuel et du sexisme au travail, montrant quelque part les coulisses de certaines entreprises. Ébahis, la séance se termina sous des acclamations.
Ensuite se fut le moment du débat, qui se fit avec enthousiasme et calme. Montrant l’importance de la prise de parole à ce sujet. Il se fit sous forme de questions-réponses. Les invités ont pris plaisir à en parler et à écouter, cela se voyait sur leurs visages.
Pour finir, les invités furent conviés à un cocktail dînatoire, afin de finir la soirée sur une belle note !
Le sujet étant d’actualité et large les débats continuèrent. Montrant ainsi la peine et l’urgence que les violences au travail provoquent dans le public.
Par Joanna Noumazalay