5 ans de vie associative cela se fête !
Le Samedi 28 Avril 2018, l’association « Les Ateliers du Travail » a donné rendez-vous comme a son habitudes aux bénévoles, aux familles, aux invités, aux partenaires et aux proches pour fêter de manière conviviale son anniversaire dans le 20ème arrondissement de Paris.
Suite, au discours des Responsables de l’association et des partenaires, les festivités ont pu commencé avec en premier lieu une animation théâtrale du Club de l’association.
Ensuite, l’élection de Miss « Les Atelier du travail » a eu lieu. Trois candidates à cette élection se sont présentées à l’élection.
Tout s’est passé dans la bonne humeur : tant Amira par son sourire et son rire ainsi que Carmen par son caractère enjoué ont semé toutes les deux une ambiance des plus chaleureuse. A l’applaudimètre Amira a été « sacrée » Miss « Les Atelier du Travail » 2018. L’Association a donc offert un cadeau à Amira pour sa victoire.
Puis, avec un peu de patience, il y a eu un très beau spectacle de danses « Sévillanes, Andalouses et Orientales » de l’association Casa Dahlia. Les danseuses ont dansé de manière joyeuse et avec entrain, elles s’appellent Amira, Carmen, Nathalie, Laure, Manuella et Khali. Elles ont contribué à faire un spectacle de danses excellent et bien rythmé en fonction des musiques adaptées.
Pour clore la cérémonie d’anniversaire, un immense Fraisier rouge et blanc à plusieurs étages offert par l’Association a été présenté pour fêter ses 5 ans. On aurait dit une tour de Babel sucrée. Il attirait l’envie et la gourmandise des invités. Il était excellent au goût.Le tout a été arrosé de coupes de champagne et tous on pu trinqué à la poursuite du programme de cette année et de l’année prochaine avec joie et une avec une ambiance des plus conviviale.
Les danseuses ont apporté en supplément de la sangria dans la plus pure tradition Espagnole. L’association remercie tous les acteurs et actrices pour leur participation, et également la Responsable de l’association pour son sens de l’organisation parfaite.
Par Michel Tabart